Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
attraper le temps qui file…
Newsletter
Albums Photos
22 novembre 2014

attraper les feuilles qui tombent #2

Non, je ne parle pas des feuilles mortes, quoique c'est un peu mon activité première au retour du boulot, ces temps-ci. Et quand on a une allée de graviers, les feuilles c'est une par une , à la main, qu'on les ramasse !  Et cette vilaine Marie qui refuse de m'aider (sous prétexte que des feuilles, elle en ramasse plus de 8 heures par jour — la menteuse, je suis sûre qu'elle plante un arbuste  de temps en temps).

22 novembre3

Des fois, ça me serre le cœur de la laisser à 7h3O sous la pluie et dans le noir devant son local, sans même un petit bout de toit pour s'abriter… mais ces périodes de stage sont aussi une occasion de vérifier le bien-fondé de son orientation : si elle ne se plaint pas, c'est qu'elle y trouve assez d'intérêt pour passer par-dessus les nombreux désagréments (la pluie, le vent, le repas froid le midi parce que le thermos ne suffit plus par ces températures, les mains ravagées malgré les gants et les applications de crème hydratante 3 fois par jour et le pire (qui doit être rédhibitoire pour les jeunes filles qui ne sont pas passées par le scoutisme) : impossible d'aller aux toilettes de toute la journée !

Bon, revenons à nos feuilles… de papier, plus précisément les ordonnances et analyses médicales qui se sont multipliées ici. J'en avais assez de déplier chaque feuille de ma pochette pour trouver l'ordonnance ou les résultats de l'une ou l'autre des filles. Avec cette maladie chronique (mais pas grave puisqu'on sait la soigner) qui nécessite un suivi et un traitement à vie, il était nécessaire de mettre un peu d'ordre. C'est chose faite, chacune a choisi ses broderies et son tissu : vert et matriochkas pour Aurore, bleu et fleurs du Japon pour Marie.

22 novembre122 novembre2

J'ai fait celle d'Aurore avec de la vlieseline ordinaire, celle de Marie avec du Decovil light (acheté au salon MCI) et je vois la différence : le rabat dans ce dernier cas n'a pas marqué la couverture lors du repassage (je pourrai rattraper en repassant la pochette verte avec un carton sous la couverture).

Et voilà, c'est rangé ! 

EDIT du 24 : et hop, on remplit la pochette verte… suspicion d'appendicite, c'est la fête !

Publicité
Publicité
21 novembre 2014

Et ce salon ?

J'y étais seule… (enfin, seule avec quelques centaines - milliers ? – d'autres visiteuses) (Annabelle, tu m'as manqué !)

J'ai parcouru les allées tranquillement, repéré ce qui pouvait m'intéresser ou ce que j'avais listé avant de partir. Pour une fois, je n'avais pas préparé ma visite, j'ai donc eu une bonne surprise en découvrant les jerseys Lillestoffe sur le stand Ottobre (et pas chers, en plus !).

20 novembre1

 Voici donc mon petit butin pour les activités à venir :

20 novembre7

Ça, c'est la faute à Cousu-main, mon mari a découvert qu'on pouvait coudre aussi pour homme !

20 novembre6

Celle-ci, depuis le temps que j'hésite à valider ma commande… j'ai été servie par Éléonore en personne, la classe ! Aurore m'en a déjà commandé une, sa sœur n'a pas encore vu le patron, je crois…

20 novembre2

Pour un cadeau de Noël

20 novembre5

Pour faire des guirlandes de boules de papier sans devoir emprunter celle de la (presque) voisine

20 novembre4

Pour la St Nicolas qui approche

20 novembre3

Pour l'atelier du Père Noël

Bref pique-nique moquette solitaire (ma voisine m'a gentiment offert le fond de sa thermos de café), un dernier tour dans les allées et je suis rentrée, il me restait du temps pour aller courir, écouter les questions existentielles d'Aurore, cuisiner…

RV le 6 décembre à Reims (et là, je serai en bonne compagnie)

(et demain, premier écrit de concours, les dés sont jetés !)

16 novembre 2014

Le cas des raccords

Je crois que depuis le visionnage d'une certaine émission, je deviens légèrement maniaque des détails… Pour ce jersey à rayures larges (presque 1 cm), avoir un raccord parfait au niveau des côtés et des coutures de manches était une évidence, c'est pour cela que je mets toujours beaucoup de temps à couper mon tissu en vérifiant et vérifiant encore que les rayures ou carreaux sont bien alignés, que j'épingle soigneusement tout les 5 cm (alors que je peux coudre les côtés d'un tee-shirt uni sans la moindre épingle). Mais cette fois, à cause des manches longues, j'ai voulu obtenir l'alignement entre le corps et les manches.

16 novembre3

Comment faire ? Je n'ai trouvé nulle part l'information. J'ai donc testé la méthode qui m'a semblé la plus logique : placer le patron en alignant le coin inférieur des emmanchures sur une ligne. Je n'étais pas certaine que ça fonctionne, avec le volume du bras dans la manche, peut-être que les rayures seraient décalées une fois le vêtement porté…

16 novembre1

Je suis donc bien contente d'avoir trouvé la bonne méthode (depuis, Marie-Christine m'a confirmé la chose, admirez sa belle chemise !)

16 novembre2

Je suis prête à me lancer dans une chemise à carreaux, donc ! (dès que j'aurais acheté le livre, trouvé le tissu, décalqué le patron, vérifié les mesures… d'ici le printemps 2015, peut-être  ?)

 

14 novembre 2014

Il y a des semaines, c'est comme des mois…

J'exagère un peu, mais ces inscriptions aux concours des écoles d'éducateurs sont un véritable parcours du combattant (j'en viens presque à regretter APB). Il me semble qu'il y a une véritable sélection avant-concours : si le candidat ne fait pas preuve d'une organisation hors-pair (ou n'est pas soutenu et fliqué suivi de près par ses parents), il sera éliminé avant même d'avoir participé.

Règle du jeu

1. Sur les sites des différentes écoles tu te rendras, les dates des concours tu trouveras (et tant qu'à faire, les dates limites de remise des dosiers), les procédures d'inscription tu noteras.

Bon, déjà, une école n'a plus de site (les navigateurs vous avertissent que ce site risque d'endommager gravement votre ordinateur et en barrent l'accès), son répondeur téléphonique indique que "pour tout renseignement, veuillez consulter notre site internet". Rares sont celles pour lesquelles nous arrivons à trouver les toutes informations sus-mentionnées. Bon-an, mal-an, Paul a réussi à établir une première liste.

2. Les pré-inscriptions en ligne tu feras, les papiers à fournir tu listeras.

Nous avons eu, au choix :

- les questions auxquelles on ne sait répondre (Statut actuel du candidat : lycéen. Statut à la veille d'entrer en formation : ben, heu, pareil, non ? Situation vis-à-vis de la journée citoyenne : faite. Situation vis-à-vis du service national : mais les derniers concernés ont maintenant 37 ans, je pense qu'ils ont tous fait leur service ? (et les réponses au choix étaient fait ou à faire)

- la page 1 qu'on remplit (nom, prénom, date de naissance, adresse…) puis le bouton "page suivante" qui renvoie à la page 1, vierge

- le compte utilisateur qui sera valide une fois qu'on aura cliqué sur le lien envoyé par mail… sauf que le mail n'arrive pas

- en cherchant le mail en question (après configuration de la messagerie qui ne permettait pas jusque-là d'accéder aux spams), tiens, que trouvons-nous dans les spams ? Plein de mails d'autres écoles qui confirment les inscriptions… et un qui demande d'envoyer impérativement un chèque sous 8 jours… daté de 3 semaines ! Le mail attendu en revanche, n'est jamais arrivé.

- la lettre de motivation à saisir en ligne (Paul, va faire ton brouillon !). Le brouillon fait, on ne retrouve plus l'endroit où il fallait cliquer pour saisir la lettre… (le site avait changé entre-temps, c'était celui qui parlait du service national)

- la demande de certificat médical (de quoi ? Ah, de non-contre-indication à suivre la formation — qui n'est ni sportive, ni dangeureuse, à première vue – je sens que notre médecin va a-do-rer)

Tout ceci a conduit mon jeune homme à la fin de la première semaine de vacances. Le vendredi, nous avons fait le point, il a tenté de joindre les écoles problématiques, sans succès, puis il est parti en stage BAFA, me laissant ses dossiers avec la liste de ce qui manquait (des photos d'identité, des chèques…) et les quelques problèmes qu'il n'avait pas pu régler.

3. Aux écoles qui posent problème, tu téléphoneras.

Ce qui implique : de ne pas avoir cours ou être en stage durant les heures d'ouverture des-dites écoles (raté), ou d'appeler pendant les vacances en espérant que les personnes concernées seront présentes (encore raté). J'ai réussi à joindre quelques écoles, expliqué que si j'appelais à la place de mon fils, c'est qu'il était en train de passer son BAFA 2e partie (ça fait très bon effet, ça…), réussi à créeer son compte et remplir deux dossiers en ligne, rattrapé le coup du chèque envoyé en retard. Le responsable des inscriptions de l'une des écoles — enfin joint après les vacances — m'a semblé légèrement exaspéré par le fait qu'aucun candidat ne reçoit les mails (ce qui veut dire accesssoirement que leur concours de novembre va être annulé, faute de candidats) et m'a assurée que le problème devrait être réglé en fin de semaine (dernière) sinon "il allait en référer à qui de droit" ; 10 jours plus tard, j'hésite à le rappeler, il va fondre en larmes au téléphone, le pauvre homme !

4. Les bons papiers dans les bonnes enveloppes tu glisseras, les timbres tu colleras, les photos tu joindras, les chèques tu rempliras.

 Là, je n'avais qu'à trouver une photo d'indentité récente, en imprimer une planche (ne pas oublier de changer le bac d'alimentation ensuite, sinon la photocopie du diplôme sera imprimée sur du papier-photo), coller les timbres sur les enveloppes libellées au nom et à l'adresse du candidat (j'ai découvert à cette occasion que mon fiston ne savait pas rédiger une enveloppe — grave lacune éducative — il a tout écrit en haut à droite) et suivre les indications qu'il m'avait laissées… ça m'a pris 3 heures ! J'ai rouvert 2 fois chaque enveloppe pour vérifier que ses lettres de motivation étaient signées (eh non), que les photos étaient collées, ou non, suivant le cas, que j'avais bien signé les chèques et que je ne m'étais pas trompée d'ordre ou de montant (ne riez pas : essayez donc de remplir 14 chèques différents à la suite sans erreur).

5. À la Poste, tu te rendras, les enveloppes tu pèseras, les vignettes tu colleras.

Ça va, je maîtrise, j'ai corsé un peu l'affaire en faisant en même temps les photocopies pour le quotient familial et l'inscription au BEPA de Marie.

6. Les convocations tu recevras, les dates des écrits tu noteras, les coupons-réponses en 5 jours tu renverras.

Ah, vous pensiez être tranquille, maintenant, mais non ! Il va falloir rester vigilant, pas question de se relâcher. Vérifier que les dates sont compatibles entre elles, trouver des solutions pour ne pas prendre un train à 5h30 le matin d'un concours (vivent les écrits le samedi), constater qu'un écrit tombe en plein milieu d'un séjour organisé par le lycée et obtenir sa désinscription (et le remboursement) de ce séjour, à contrecœur (partir une semaine au ski avec un groupe de jeunes handicapés, c'était chouette comme projet… soyons positif : ça lui fait un risque de moins de se blesser). Ne pas oublier, le  cas échéant, de s'inscrire pour l'oral de groupe, puis pour l'entretien individuel si l'on arrive à aller jusque-là.

7. Les mentions de ton CV, tu justifieras.

Accrochons-nous pour obtenir une confirmation écrite du fait qu'il ait été dans les équipes jeunesse de la Croix-Rouge de 2010 à 2011 (on espère que le responsable est encore en poste) ou fait un stage d'une semaine en école maternelle en troisième…

8. Pendant ce temps, tes cours tu suivras, ton stage tu effectueras, les engagements tu tiendras, ton prochain stage tu chercheras.

 

C'est moi qui ai oublié, ou de mon temps, c'était beaucoup plus simple ? On remplissait les dossiers papier fournis par le lycée à la date qu'on nous avait indiquée et c'était tout !
Enfin, quand même, il fallait aller passer des concours dans une ville qu'on ne connaissait pas, prendre les bons bus dans le bon sens, (un camarade avait loupé un concours comme ça) pas d'internet pour se renseigner à l'avance, pas de téléphone pour donner des nouvelles… mais ce qui ne change pas, c'est la solidarité entre amis : un grand merci à F. qui avait accueilli mon mari dans son petit studio lors de ses concours parisiens il y a 25 ans et qui a la bonne idée d'habiter aujourd'hui à 500 m d'une des écoles visées et gagne donc une soirée en tête-à-tête avec notre fiston !

 

Ah et puis, à tout hasard…

Est-ce que quelqu'un ici serait en mesure d'héberger un jeune homme du 5 au 23 janvier aux alentours de Melun (disons entre Melun et Juvisy à proximité du RER D, en échange de services du genre baby-sitting), week-ends non compris ? On lui a proposé un stage génial mais 5h de transport par jour (si tout va bien), ça me semble juste inconcevable !

 

12 novembre 2014

Amsterdam

Après Roubaix en janvier dernier, Bruxelles en avril, nous sommes partis trois jours à Asterdam tous les deux. Vous remarquerez la progression, tant en distance qu'en durée… il s'agit de soigner mon inquiétude maternelle chronique à l'idée de laisser mes bébés tout seuls. J'étais d'autant moins tranquille que Paul s'était inscrit en stage BAFA pour la semaine, avait cru que son inscription était refusée par manque de places (c'est là que nous avons réservé nos chambres d'hôtel), puis appris qu'il était inscrit, finalement. Il a fallu prévoir son rapatriement (le château de Jambville est un peu au milieu de nulle part… pas très loin de chez nous mais à plus de 3h de transports en commun, le samedi !) et me décider à laisser les filles seules. Nos chers voisins étaient prévenus, j'avais laissé une longue liste de consignes (ne pas allumer la cheminée, surveiller les casseroles, ne pas allumer de bougie sans surveillance le soir d'Halloween, bien vérifier que les trois portes de la maison sont fermées à clé… en revanche, jouer aux maçons devant la maison était tout à fait permis) et le jeudi après-midi, nous prenions la route pour une étape nocturne à Anvers. La météo (pas si exceptionnelle que ça ni l'on songe à nos vacances de Toussaint depuis quelques années) m'a bien aidée à me détendre (la fumée inhalée en passant 150 fois par jour devant un coffee shop aussi, peut-être ?)

Dans les rues d'Amterdam, on peut se balader en tee-shirt un premier novembre

11 novembre04

Dans les rues d'Amsterdam, si tu loupes ton créneau, ta voiture tombe à l'eau

11 novembre0211 novembre09

Dans les rues d'Amsterdam (comme à Londres), il y a des maisons sous les maisons

11 novembre0611 novembre07

… et du coup, même les oiseaux vivent en habitat collectif

11 novembre05

Dans les rues d'Amsterdam, il y a des maisons qui penchent (mais comme elles penchent depuis des siècles, on se dit qu'elles ne vont pas tomber tout de suite)

11 novembre0811 novembre 07

Dans les rues d'Amsterdam, il y a des vélos, beaucoup de vélos !

11 novembre 03

Dans les rues d'Amsterdam, on fêtait Halloween (mais ce soir-là, nous étions au musée Van Gogh, mauvaise idée, d'ailleurs, la nocturne, vu qu'un DJ est convié à "animer" le vendredi soir… 2h de boîte à rythme tonitruante, ça épuise !)

11 novembre0311 novembre 081

Dans les rues d'Amsterdam, même les tout-petits font du vélo

11 novembre01

Dans les rues d'Amsterdam, quand on va photographier une vieille église en début d'après-midi, on est légèrement surpris par le spectacle quand on se retourne (ah, je n'avais pas remarqué les lampes rouges au-dessus des fenêtres !)

11 novembre 04

Allez, quelques clichés quand même :

11 novembre 0211 novembre 01

Et une belle collection de robes de mariées à travers les siècles au Rikjsmuseum

11 novembre 0511 novembre 06

11 novembre00111 novembre002

Enfin, les ponts d'Amsterdam n'échappent pas à cette coutume stupide (associer l'amour à l'enchaînement, quelle perspective réjouissante d'avenir !). Je suis tout à fait d'accord (comme souvent) avec lui.

11 novembre10

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
11 novembre 2014

10 du 10 : signes

Sur la proposition de J'habite à Waterford, 10 photos prises dans notre quotidien, à la recherche des signes et des signaux. J'ai bien failli le manquer, ce 10 du 10, j'étais pourtant partie avec mon appareil le matin, mais je travaillais, je ne suis pas sortie le midi, j'ai retrouvé mon mari à la gare à 16h pour le don du sang (on a bien voulu de moi cette fois-ci, ouf, les lubies de certains médecins sont inexplicables), nous sommes rentrés directement nous mettre au chaud et prendre un thé… un coup de fil à passer, le dîner, une réunion et notre répétition du lundi… ce n'est qu'après 23h que je me suis mise à la recherche de signes évocateurs dans la maison. Et ensuite, impossible de charger des photos sur mon blog… bon, ça semble fonctionner enfin, alors j'en profite !

7h, le ciel est dégagé, signe qu'il va faire froid (3°). Marie est en stage en ce moment,
je préfère la savoir travailler dehors dans le froid plutôt que sous la pluie.

10 novembre01

Manteau, écharpe, gants, c'est parti ! Je m'arrête pour photographier ces grands
signes bizarres au sol (la rosée qui a goutté des croisillons de la pergola)

10 novembre02

À la gare, le parking vélo est signe d'un jour de pont ;
pour une fois, je n'ai pas de mal à trouver où m'accrocher.

10 novembre03

Signes d'automne : les feuilles mortes (attention à ne pas déraper !)
et ce magnifique arbre que j'admire à chaque fois que je passe devant.

10 novembre0410 novembre05

 

Autre signe que nous rentrons dans la période hivernale : j'ai ressorti ma bouillotte

10 novembre06

Signes à déchiffrer, mais pour cela, il faut la clé ! « Maman, en clé de sol, quand je lis un si, je dois jouer un la ? » (oui, Aurore a toujours eu une manière particulière d'apprendre à lire la musique, quand elle voyait une note, elle pensait au doigt sur la corde et en déduisait son nom ensuite… classique m'a dit son professeur)

10 novembre09

 

J'ai trié et lavé les chaussures de randonnée : l
es nombreuses paires à donner sont signe que les enfants ont grandi.

10 novembre07

Un peu de ménage a été fait : signe que quelqu'un a fait le pont (pas moi !)

10 novembre08

Signe qu'il y a de la musique vivante dans cette maison (et tout le bazar qui va avec !)

10 novembre10

 

D'autres signes à déchiffrer ?

 

 

 

 

6 novembre 2014

Aurore aux commandes

Comme j'ai un peu de mal à trouver le temps de rédiger les messages à venir, je vous livre tel quel le reportage que notre fille nous a envoyé durant notre petit séjour néerlandais et qui nous a bien fait rire :

Les photos du chantier:

Que de travail et de création dans ces gestes!!

paves01

Le tas de sable (avec beaucoup trop de cailloux à mon goût)

paves02

Abracadabra, au bout de 3, la bosse va disparaître!

paves03

Au bout de 3 j'ai dit!!

paves04

On a enlevé beaucoup de pavés dit-donc!

paves05

Oh!! Que de soin!

paves06

Le travail et la délicatesse avant tout! Pour ça, on utilise des outils très spéciaux! Par exemple sur cette image, heu… je sais plus le nom…

(NDLR, pourtant une simple truelle !)

paves07

L'artisan en plein travail

paves08

L'artisan et sa coéquipière qui travaillent

paves09

Elles travaillent toujours?!

paves10

Petite pause?

paves12

… En fait non!

paves11

Coucou!
J'espère que votre voyage s'est bien passé, nous tout va très bien, rien ne nous dérange pour instant!
Je vous souhaite une bonne journée de visite pour demain, pas de pluie mais au contraire du soleil, pleins de lieux magnifique que vous pourrez découvrir!
Plein de bisous et bonnes visites!!
Aurore et Marie qui vous aiment!!!!

Un message réconfortant lorsque nous avons enfin réussi à trouver notre hôtel dans la banlieue d'Anvers…

Marie a fait du très bon boulot, mais s'est arrêtée en constatant qu'il faudrait dépaver plusieurs mètres carrés pour obtenir un résultat satisfaisant, ce qu'elle ne peut faire le soir au retour du travail car la nuit tombe vite… à suivre, donc !

5 novembre 2014

Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? (11)

Légumes rôtis aux épices

J'avais tout ce qu'il fallait pour un tajine de légumes racines, mais pas envie de tajine, finalement. Alors j'ai improvisé à partir de la méthode des frites au four.

Pour 5 personnes

1 patade douce
1 gros panais
4 carottes
2 oignons moyens
1 gros navet
3 pommes de terre charlotte moyennes
1/2 betterave crue (cadeau d'un voisin)
2 CS d'huile de tournesol
4 épices, cannelle, paprika

Éplucher, laver tous les légumes, les couper en cubes de 2 cm environ. Les mettre dans une une grande boîte (en plusieurs fois si nécessaire) avec l'huile, 1 cc de cannelle, 1/2 c de 4 épices, 1/2 cc de paprika, fermer et secouer énergiquement afin d'enrober le tout d'huile aux épices.

4 novembre14 novembre2

Étaler dans la lèche-frite, enfourner à 180 °C durant 25 min. Saler et poivrer avant de servir.

4 novembre3

J'ai enfourné le tout, je suis partie chez l'orthodontiste avec Aurore (oui, oui, encore…), le four programmable est bien pratique dans ce cas-là, sinon nous aurions mangé des légumes carbonisés… 2h plus tard, j'ai complété avec un magret de canard (juste un pour cinq, c'était parfait) et une salade de mâche et roquette à l'huile de noisette.

 

Publicité
Publicité
attraper le temps qui file…
Publicité
Archives
Publicité