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attraper le temps qui file…
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21 novembre 2017

Pour Louise

Elle se faisait attendre, cette petite, mais ça en valait la peine : elle est ravissante !

J'avais eu quelques idées d'associations tissu/broderies mais dès que j'ai appris sa naissance et son prénom, il m'a paru évident qu'il fallait ce tissu fleuri et du lin. Message reçu samedi matin, broderie samedi après-midi, couture le soir (j'attendais le retour d'Aurore d'une journée passée dans le froid et sous la pluie avec les scouts), dernières finitions dimanche matin.

 

21 novembre1

21 novembre2

21 novembre3

Bienvenue à Louise et félicitations aux heureux parents et aux jeunes grands-parents !

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20 novembre 2017

Je ne suis pas aidée !

Alors que je décide de me remettre un peu à coudre (enfin, coudre autre chose que des pièces sur des pantalons déchirés, ce qui a été ma grande activité d'octobre, entre deux quintes de toux), mes filles me font part de leurs besoins :

- Pour Aurore, le pyjama en flanelle qu'elle m'avait demandé au printemps dernier et pour lequel elle a choisi un tartan. Elle le veut “bien large” (je n'invente rien). Je lui montre le patron (Burda), je prends ses mesures car il s'agit d'un patron pour enfants, je découpe (sans trop chercher à raccorder les carreaux car je n'avais guère de marge), je m'applique sur les coutures anglaises rabattues, parce que la flanelle, ça gratte… tout cela avec une demoiselle-courant-d'air (entre son emploi du temps chargé au lycée, ses trajets en train, ses multiples activités musicales, les scouts et ses visites à la médiathèque, elle est toujours partie !) peu disponible pour les essayages. Et finalement, elle le trouve trop large ! Tant pis, pour dormir, ce sera confortable.

 

20 novembre1

(au petit-déjeuner, nous l'appelons Jolitorax)

- Pour Marie, qui doit transporter, pour sa prépa-concours, un carnet de croquis format A3 et souhaitait un tote-bag "tout simple, Maman". Elle me confie son carton à dessins, je coupe un centimètre tout autour, j'assemble, je finis l'ourlet intérieur avec une jolie bande fleurie, puis je convoque la demoiselle pour ajuster la longueur des anses… et là, elle me signale que le carton est lui-même rangé dans une pochette plastifiée, plus grande, donc !

J'ai décousu une partie de la bande fleurie et, le côté du sac, puis ajouté un morceau pour l'élargir. Et comme le pyjama, ce sac rempli complètement son office, tant pis pour l'esthétisme (il ne faudrait pas que ça devienne une habitude…)

20 novembre2

20 novembre3

Merci mes filles, je vous aime quand même !

 

15 novembre 2017

La loi des séries

Je pense que notre maison a un caractère bien trempé et craint qu'on ne l'oublie, au quotidien. Par conséquent, les équipements se relaient pour nous occuper, au rythme d'un tous les dix jours :

Début septembre, le portail est bloqué (fermé, évidemment): les deux battants se sont légèrement rapprochés l'un de l'autre, probablement les pilliers de béton qui ont joué avec toutes ces pluies… le week-end suivant, les hommes forts unissent leurs efforts pour régler les gonds.

C'est alors qu'arrive l'épisode "câble" : depuis début avril, nous avons des soucis de téléphone, entre autres. Or, nous venions de passer à la "fibre", c'est-à-dire que tout passait désormais par le câble d'antenne (installé en 1994) au lieu des lignes téléphoniques. Après de nombreux appels au support technique (et l'énervement qui s'ensuit inévitablement), nous perdions patience. Enfin, un technicien s'est déplacé. Après avoir repéré l'arrivée du câble dans le garage, l'avoir suivi dans la lingerie, puis une chambre, nous l'avons cherché dans le grenier (sous 50 cm de flocons d'ouate de cellulose) sans succès. 
Le dimanche suivant, en triant des photos, j'ai retrouvé celles-ci et remarqué une gaine électrique qui se baladait toute seule, à l'écart des autres. Je l'ai facilement récupérée sous les flocons et effectivement, elle contenait le câble !
Le mercredi, toujours avec le technicien, nous suivons ce câble de bout en bout, démontant quelques plaques de parquet au passage, afin de trouver un boîtier de dérivation qui serait cause de la déperdition de signal… rien ! Celui-ci doit se trouver dans l'épaisseur d'un mur. Il lui a donc fallu passer un nouveau câble au travers du garage, puis au bord du toit côté jardin, redescendre le long de la gouttière pour entrer dans le séjour. Forcément, à cet endroit précis, il y avait la réserve d'eau pleine (300 litres seau par seau, c'est un peu longuet à vider) et de l'autre côté du mur, une bibliothèque pleine aussi. Une fois la nouvelle prise posée, j'ai terminé le travail en découpant le fond de la bibliothèque pour passer le fil. Bilan : une bonne séance de gym !

Ensuite, ce fut le tour de la porte entre le garage et la cuisine (qui nous sert d'entrée, donc la plus sollicitée de la maison) dont le pène ne sortait plus (impossible donc à la porte de tenir fermée). Par chance, toutes les portes de la maison sont équipées de la même serrure et presque toutes s'ouvrent dans le même sens, restait donc à échanger avec une porte moins souvent utilisée.

Un matin, j'ai remarqué une grande flaque dans le garage. C'est toujours agréable, au moment de partir travailler, de devoir déplacer une étagère bien chargée pour éponger le sol ! L'étagère en question (que j'avais poussée un peu plus près du mur la veille) semblait appuyer sur le robinet d'arrêt, qui gouttait. Mais une fois celui-ci dégagé, il gouttait toujours un peu. Il n'a pas aimé son surmenage de l'été, probablement… j'attends le passage du plombier (en attendant, j'ai vérifié que je pouvais couper l'eau au compteur, je suis donc descendue dans la fosse et j'y ai rencontré un crapaud ! J'hésite à l'embrasser, je n'ai pas besoin de prince charmant pour l'instant).

Et puis c'est l'interrupteur du garage qui a lâché (oui, encore le garage). Interrupteur double (garage et cave), pour moitié va-et-vient, et équipé d'une diode pour prévenir de l'allumage de la cave. Lui trouver un remplaçant n'a pas été simple, mais le montage a battu tous les records de galère (4h pour réussir à brancher solidement tous les fils, les faire rentrer dans le boîtier exigu et refermer celui-ci).

C'est au moment où les températures ont frôlé les 0°C que le radiateur sèche-serviettes de la douche a refusé de chauffer, il n'est pourtant pas bien vieux ! Panne très courante, semble-t-il, il n'a pas été difficile de trouver des infos sur internet, de commander une nouvelle carte électronique et de la changer, vidéo à l'appui.

Dans une semaine (si tout va bien *), Schmidt vient nous changer une armoire de cuisine, dont la porte ne tient plus depuis le 8 mars. Meuble encore sous garantie à cette date, mais le magasin avait changé de gérant, puis changé de marque, et il m'a fallu harceler le service clients pour obtenir gain de cause ! Encore ont-ils tout décidé sans me demander mon avis, si bien que nous avons l'armoire neuve dans le garage depuis 4 semaines (60 cm de large, 2 m de haut, pas encombrante du tout… mais arrivée juste après la pose du câble, heureusement) en attendant le menuisier.

Je demande une pause !

 

* EDIT : si tout va bien, écrivais-je… le poseur m'a prévenue vers 17h qu'il n'aurait finalement pas le temps de passer (chic, c'était une joie de vider le contenu de 3 placards), le RV est remis à… fin janvier !

10 novembre 2017

10 du 10 : léger

C'est le thème proposé par J'habite à Waterford pour ce 10 novembre.

Pas du tout légère, ma charge mentale, ces jours-ci ! Pour me décharger des préoccupations
qui m'ont assaillie cette nuit, je note tout ce que je dois régler d'ici ce soir, vais-je tenir le défi ?

10 novembre - 1

Légère, douce et chaude, une écharpe parfaitement assortie à mon pull gris et mon pantalon jaune.

 10 novembre - 2

En raccrochant, je me sens plus légère : parfois, il faut savoir dire non (mais c'était difficile).

10 novembre - 4

Léger, mon déjeuner ! Restes de légumes rôtis de la veille, houmos à la betterave et clémentines. Et la conversation d'Aurore, qui avait trois heures de trou ce midi (son lycée est presque en face de mon bureau).

10 novembre - 3 

Légères, les traces de l'incendie de mardi matin. Et pourtant cette famille de 7 personnes a tout perdu… sauf la vie ! Les dons de vêtements et petits objets affluent à l'école primaire du quartier, j'attends que les volontaires fassent le tri pour proposer les sacs de vêtements et chaussures que j'allais justement porter à la Croix-Rouge, et puis des livres aussi, peut-être ?

10 novembre - 5

Légère, cette fuite. Ma petite installation semble suffire à éviter la flaque que j'essuie chaque matin depuis lundi, espérons que la situation n'empire pas avant la venue du plombier mercredi (quelle chance, ils attendaient justement l'occasion de passer dans notre ville pour nous apporter le marchepied de la baignoire, dans leurs locaux depuis trois mois !)

10 novembre - 6

Pas légers les sacs de légumes que j'ai récupérés à l'Amap. Pommes de terre, carottes, oignons, betteraves, chou chinois, romanesco, blettes, céléri-branche, scarole, potimarron, radis blanc, persil, poivrons et une mini-aubergine. Il n'y a plus qu'à partager tout cela en deux parts, puisque nous sommes en binôme avec des voisins.

10 novembre - 7

Légères, les bulles du Vouvray, une bouteille rescapée de notre anniversaire de mariage, pour fêter le week-end.

10 novembre - 10

Pas léger du tout, le dîner, mais parfait pour se retrouver en famille à la fin d'une journée froide et pluvieuse.

10 novembre - 9

Et c'est allégée d'un certain nombre de tâches (vous remarquerez combien la liste s'est alourdie au fil de la journée) que je vais me coucher. Nul doute que je dormirai mieux cette nuit ! 

10 novembre - 8 

 

8 novembre 2017

25 ans après

Il y a eu l'avant :

La location de la salle en février (la mairie demandait plein de papiers, d'attestations… et le paiement complet !)

Les premières listes d'invités : 106 places, c'est beaucoup et c'est peu. Nos familles, nos amis de jeunesse et ceux que nous nous sommes faits ici… des choix pas faciles à faire, une petite liste complémentaire au cas-où…

Une première idée de ce que nous voulons faire de cette soirée. Des objectifs (rentrer dans ma robe de mariée par exemple)

Un premier envoi d'invitations, quelques retours négatifs ou "pas avec tous les enfants" qui nous ont permis d'élargir un peu le cercle

Une petite sueur froide en réalisant que nous avions oublié de nous compter (finalement, la fête, ce sera sans nous !)

La logistique : l'achat et le transport des boissons, forcément étalé sur deux mois, le petit jeu de "qui dort où" — merci nos voisins pour vos prêts de chambres — la vaisselle (jetable mais écologique) à commander, la décoration, la liste de tout ce qu'il faut emmener, des nappes au café, du papier-toilette (eh oui) aux couteaux-qui-coupent, des torchons aux étiquettes, le pain et les fromages, le thé et les tisanes, sans oublier le sucre, les cakes salés et gougères qu'il ne faudra pas laisser dans le congélateur… 

Une petite retouche de la robe de mariée (les épingles marquent l'emplacement des boutons en 1992)

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Quelques fleurs en papier pour égayer les murs blancs

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Et puis nous y étions :

8h30 : remise des clés de la salle. Notre interlocutrice remarque que la cuisine n'est pas propre : 10 minutes plus tard, l'équipe "ménage" de la mairie est sur place ! Nous déposons nos cartons de vaisselle et bouteilles d'eau et rentrons préparer le déjeuner.

12h30 : Aurore rentre du lycée, nos premiers invités arrivent. Le temps est presque estival, ce qui ne gâche rien.

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14h45 : départ pour la salle, qu'il faut aménager et décorer. Déplier et placer tables et chaises, découper les nappes, plier les serviettes, coller les photos, installer la sono, disposer assiettes et verres… le temps passe très vite !

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16h30 : Vite, il est temps de rentrer nous habiller ! La fête commence à 17h.

Quelques morceaux de musique…

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Des chants…

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Et quelques danses folk pour nous mettre en appétit

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Je n'ai guère vu les plats apportés par nos invités

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Le mur de photos a bien plu

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En revanche, le "coin photo-booth" concocté par Paul n'a guère eu de succès, pas assez de publicité ? 

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Son petit coin "cadeaux" sur le thème du voyage, exploitant ingénieusement les cartes géographiques envoyées par des organismes humanitaires, était très réussi

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Certains se sont amusés avec les étiquettes…

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Il y a eu des concurrents prêts à tout pour gagner !  

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Et puis ce moment où nous avons été la cible des paparazzi

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Avant l'ouverture du bal

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 Je crois que nous nous sommes bien plus amusés que les "jeunes" du mariage de la salle à côté ! 

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Vers deux heures, une équipe de choc a débarrassé, replié et rangé tables et chaises en un temps record (merci encore à nos voisins qui ont transporté les bouteilles, pains, cadeaux, fleurs… nous épargnant quelques voyages) et nos jeunes, aidés de leurs cousins, ont décollé les photos, balayé, frotté, essuyé… si bien qu'à trois heures, nous étions dans notre lit canapé, l'esprit tranquille pour l'état des lieux quelques trop courtes heures plus tard (8h30 le dimanche !)

15octobre - 2

Aurons-nous le courage de recommencer avant nos noces d'or ?

 

 

 

 

 

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